
Comment les anciens Égyptiens pouvaient-ils s'approvisionner en cadavres d’animaux nécessaires à la confection des innombrables et aujourd’hui si populaires "momies votives" de chats, chiens, ibis ou crocodiles ? Voir l'article dans le Journal of Archaeological Science co-écrit par Stéphanie Porcier du laboratoire HiSoMA et du musée des Confluences.
Dans le cadre du programme de recherche interdisciplinaire MAHES (Momies Animales et Humaines Égyptiennes) actuellement financé par le LabEx ARCHIMEDE, une équipe regroupant des chercheurs de l’Université Montpellier 3, du laboratoire CNRS « Archéologie des sociétés méditerranéennes », du Synchrotron Européen de Grenoble (ESRF), de l’American University in Cairo, de renouvelle nos connaissances des pratiques rituelles dont ces momies animales étaient les objets. Volume 10, octobre 2019.