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Journée d’étude co-organisée par l’Université Lumière-Lyon2, l’IEP de Lyon, l’Université Paris-Nanterre, la SFHPo et l’APHG de Lyon
- mardi 16 octobre 2024 - de 9h à 17h - Amphithéâtre de la MILC - 35 rue Raulin 69007 Lyon

organisation : Franck Collard (Université Paris -Nanterre / MéMo), Virginie Hollard (Université Lumière-Lyon 2 / HiSoMA) et Gilles Vergnon  (IEP Lyon, LARHRA)

La Société française d’histoire politique souhaite solliciter des chercheurs historiens non contemporanéistes pour interroger la pratique de l’histoire politique en dehors du champ de la période contemporaine qui est trop souvent la seule envisagée pour penser historiquement des phénomènes politiques.

En conviant des historiens et historiennes des périodes plus anciennes à une réflexion sur les liens entre histoire et étude du politique, voire entre histoire et science politique, si celle-ci est concevable pour les périodes autres que contemporaines, nous souhaiterions nous interroger plus généralement sur la possibilité d’une interdisciplinarité dans la mise en œuvre des méthodes de recherche appliquées aux objets historiques relevant du champ politique. Dit autrement, qu’est-ce que l’histoire politique appliquée aux temps pré-contemporains ? La science politique a-t-elle une pertinence pour ces périodes ?

La journée d’étude envisagée compte utiliser le vote comme terrain d’étude commun aux différentes périodes historiques en même temps qu’à l’intersection entre l’histoire et la science politique.

voir le programme complet

Cette journée se veut donc autant une mise au point scientifique que méthodologique. Elle se veut également un temps de réflexion pédagogique sur l’enseignement de la science politique au lycée dans le cadre de l’enseignement de spécialité HGGSP.

Elle se déroulera en deux temps :
1 – une matinée consacrée à la présentation de trois conférences sur le vote du point de vue de l’histoire ancienne, de l’histoire médiévale et de l’histoire moderne.
2 – une après-midi de réflexion collective sur les questions soulevées par ces trois conférences quant aux méthodes utilisées par les chercheurs et chercheuses de ces trois périodes en matière d’histoire politique.

La journée se terminera par des interventions d’un historien contemporanéiste spécialiste d’histoire politique et d’un politiste.

Programme : 

9h : Accueil

9h15 : introduction par Gilles Vergnon (IEP Lyon / LARHRA)

9h30 - 12h30 : trois communications avec discussions

Virginie Hollard (Lyon 2 / HiSoMA) : Les Romains votaient-ils ?

Émilie Rosenblieh (Université de Franche-Comté-Centre Lucien Febvre / CNRS-Lamop) : Le vote en conclave au XVe siècle

Maud Harivel (Université catholique de l'Ouest / Vannes) : Voter dans une république aristocratique : significations, pratiques et dérives (Venise XVI-XVIIIe siècles)

Déjeuner

14h - 15h30 : Table ronde et discussion sur les questions soulevées par les trois conférences de la matinée, animée par Franck Collard (Université Paris-Nanterre / MéMo) en présence de Claire Judde de Larivière (Toulouse 2 / FRAMESPA), Carole Mabboux (Paris 8 / MéMo), Jean-Philippe Rey (Lycée Général Die / Docteur en Histoire), Henri-Pierre Mottironi (Université de Neuchâtel) et Gilles Richard (Rennes 2 / SFHPO), Raphaël Barat (Université Lyon 3-LARHRA)

Pause

16h - 17h : l’histoire politique non contemporaine : quelles utilisations pédagogiques ? 

 

Séance du séminaire NHOMA. Nommer les hommes dans les mondes anciens
- mardi 15 octobre - 17h à 19h - salle Reinach - 4e étage - MOM - entrée par le 86 rue Pasteur - Lyon 7e 
Présentation par Maël Deuffic (Archéologie et Philologie d’Orient et d’Occident, Paris) 
- affiche (.pdf) 

Le site de production de céramique de La Graufesenque, à Millau (Aveyron), est l’un des plus importants de la Gaule du Ier-IIe siècle. Il a laissé un matériel épigraphique considérable tant par son nombre que par sa nature, puisqu’il nous livre l’un des corpus en langue gauloise les plus riches. Nous nous attacherons à étudier le matériel onomastique retrouvé sur les estampilles de potiers et les bordereaux d’enfournement, afin de mieux cerner les effets de la romanisation pendant ses deux siècles d’existence. Empruntant les méthodes de la linguistique celtique et latine ainsi que celles de l’archéologie, nous examinerons comment cette population indigène a progressivement transcrit ses noms en latin et adopté des noms romains, tout en recevant, pour une partie d’entre elle, la citoyenneté romaine et son modèle de dénomination.

Dans le cadre de la Fête de la science, le CNRS  et HiSoMA - Sources Chrétiennes proposent une "visite insolite" dans les locaux du 22 rue Sala, 69002 Lyon, le jeudi 10 octobre 2024 de 18h30 à 20h30, sur le thème : "La Bible et ses traditions anciennes".

Pourquoi insolite ? D'abord parce qu'un centre public de recherche scientifique adossé à une chapelle en plein cœur de Lyon, c'est peu commun ! Ensuite parce que la Bible recèle beaucoup d'aspects vraiment insolites.

Nous accueillerons ainsi un groupe de 12 personnes pendant 2 heures et nous interrogerons avec elles pour savoir comment s’est construite la Bible d’aujourd’hui. Nous découvrirons une riche collection de livres anciens, les différentes versions de la Bible et l’histoire de ce texte. Nous nous essaierons ensemble à l’écriture d’un passage sur papyrus et à la lecture de manuscrits, à leur transcription et leur intégration dans nos outils numériques.

Les inscriptions pour les Visites Insolites sont possibles du 2 au 23 septembre, via ce lien.

Séance du séminaire Épigraphie grecque et latine
Présentation par Julien Aliquot (CNRS, Hisoma)
- mardi 24 septembre 2024 - de 17h à 19h - salle Reinach - MOM - entrée par l'Université de Lyon2 - 86 rue Pasteur - Lyon 7e
- lien de connexion ZOOM ( ID Réunion : 999 4221 2690 / code : GTE0sX)
- programme 2024-2025

Dans le cadre du programme de recherche international des Inscriptions grecques et latines de la Syrie (IGLS), une série d’inscriptions religieuses a été relevée sur le littoral et sur le versant maritime des montagnes côtières de la Syrie actuelle. Ces documents d’époque romaine sont ici publiés en suivant une progression du nord au sud, depuis les confins du territoire de Laodicée-sur-mer jusqu’à la pérée d’Arados. 1) Des ex-votos de Laodicée consacrés au dieu très haut sont rapportés au culte de Zeus Kasios sur le sommet du mont Casius. 2) La dédicace errante à Apollon Remthènos d’une collection privée est mise en relation avec Rhamitha, prédécesseur de la cité de Laodicée. 3) Une inscription conservée au musée de Ṭarṭūs commémore la construction d’un temple urbain dans la cité phénicienne de Gabala. 4) Dans la pérée aradienne, le dossier épigraphique de Baitokaikè s’étoffe de trois nouvelles dédicaces. La réédition du récit de guérison provenant de ce sanctuaire villageois donne aussi l’occasion de reconsidérer l’interprétation du nom du site. 5) Une dédicace de Iamoura (Yaḥmūr) rappelle la construction du temple et des portes d’un sanctuaire de Kronos sous le règne de Marc Aurèle et Lucius Vérus. Dans l’ensemble, le panorama met en évidence l’intégration des hauts-lieux et des sanctuaires villageois de la Syrie côtière dans des réseaux où les cités du littoral occupent une place centrale depuis l’époque hellénistique.

Séance du séminaire Espaces, villes et sociétés
Intervention de Paul Cournarie (Université Bordeaux Montaigne, AUSONIUS) et Pascal Montlahuc (Université Paris - Cité, ANHIMA)
Répondant : Igor Moullier (ENS Lyon, LARHRA)
- vendredi 20 septembre 2024 - de 15h à 18h - salle Reinach - salle Reinach - MOM - entrée par l'Université de Lyon2 - 86 rue Pasteur - Lyon 7e / et en visioconférence (pour obtenir le lien zoom écrire à : anna.cannavo@mom.fr)
- affiche (.pdf)

Au fil d’une carrière longue de plus de cinquante ans, Paul Veyne a arpenté des domaines de l’Antiquité gréco-romaine aussi variés que l’évergétisme, la sexualité, la croyance, la figure de l’empereur romain ou encore l’impérialisme. Cette communication entend mettre en perspective l’ensemble de la production veynienne et analyser la trajectoire particulière de cet érudit qui sut également se faire épistémologue et qui fut autant adoré du grand public cultivé que perçu comme une sorte d’anomalie par ses collègues. Il s’agira donc ici d’aborder, d’un seul tenant, les éléments biographiques, les positionnements épistémologiques successifs et la production écrite de Veyne.

Ayant fait l’objet d’une synthèse récente, les recherches actuelles portant sur cet historien abreuvé de sciences sociales (on pense à la philosophie de Foucault ou à la sociologie de Passeron) semblent en outre pouvoir être prolongées par l’analyse d’une correspondance inédite entre Paul Veyne et George Ville, dont le contenu sera brièvement présenté en fin d’intervention.
 

- mercredi 19 juin - 15h à 19h - salle 308 - 3e étage - MILC - entrée par le 35 rue Raulin - Lyon 7e
- affiche (.pdf)

Séminaire organisé par Antonio Ricciardetto (CNRS, HiSoMA) dans le cadre des Ateliers de papyrologie littéraire / Ateliers di papirologia letteraria dirigés par Gabriel Nocchi Macedo (Université de Liège, CEDOPAL), Marco Fressura (Università di Roma-Tre), Natascia Pellé (Università del Salento, Centro di Studi Papirologici) et Antonio Ricciardetto (CNRS, HiSoMA)

Communications :
Nathan Carlig (Université de Liège, CEDOPAL)
L'Empédocle du Caire (P.Fouad inv. 218). Découverte, identification et apport à la littérature grecque

Giulia Rossetto (Institut für Byzantinistik und Neogräzistik der Universität Wien)
A New Tale on the Childhood of Dionysus in the Palimpsest Sin. ar. NF 66: The Challenge of Working with an Unknown Classical Text

Luca Benelli (Universitat de Barcelona)
Philitas, the Cynics and more in the Yale Papyrus Papyrus-codex (P. Ct. YBR inv. 4000)
Discussions à visée méthodologique, par les responsables des Ateliers de papyrologie littéraire

Il sera possible de suivre à distance les communications de cette séance, à l’exception de celle de N. Carlig ; un lien de connexion sera envoyé aux personnes inscrites auprès de antonio.ricciardetto@mom.fr

Séance du séminaire NHOMA. Nommer les hommes dans les mondes anciens 
- mardi 11 juin - 17h à 19h - salle Reinach - 4e étage - MOM - entrée par le 86 rue Pasteur - Lyon 7e 
Présentation par Antoine Viredaz (Université de Lausanne)
- affiche (.pdf)
- lien de connexion Zoom (ID réunion : 985 0506 8455 / Code : SF106u)

Langue sabellique parlée et écrite en Italie centrale et méridionale jusqu’au Ier s. av. n. è., l’osque est documenté par plusieurs centaines d’inscriptions datées, pour la plupart, d’entre 400 et 90 av. J.-C. environ. Ces textes livrent les noms de plus de 500 individus, représentant en grande majorité des hommes de condition libre. Si la partie septentrionale de l’aire linguistique osque fournit une documentation relativement tardive et largement influencée dès ses premières attestations par le modèle romain, les textes de Campanie, du Samnium et de l’extrême sud de la péninsule italienne révèlent l’existence d’une anthroponymie au fonctionnement original. Ce matériau a fait l’objet d’une étude de Michel Lejeune (1976), qui s’est attaché à en décrire la systématique (structure de la formule et position relative de ses différents éléments) et l’onomastique (mode de dérivation des éléments anthroponymiques, inventaire des prénoms, gentilices et cognomina) et à en esquisser le développement historique, de l’adoption d’un système proche de celui de l’étrusque jusqu’à sa romanisation au Ier s. av. n. è. Fabrice Poli (2009) a effectué une première mise à jour de ces recherches, fondée sur un répertoire élargi aux données apparues jusqu’en 2002, confirmant largement les conclusions de Michel Lejeune. Une vingtaine d’années après, il convient de reprendre la question en y ajoutant les inscriptions découvertes depuis le début du siècle et en y intégrant les nouvelles lectures publiées notamment dans le grand corpus des inscriptions sabelliques, Imagines Italicae (2011).

Nous suivrons la structure de l’étude de Michel Lejeune tout en commentant les inscriptions récemment découvertes qui apportent un éclairage nouveau sur le système anthroponymique osque. Les questions abordées porteront en particulier sur la condition sociale des individus représentés dans le répertoire onomastique osque ; la structure de la formule anthroponymique (position du patronyme, rapport entre prénom du père et prénom du fils, présence ou non d’un cognomen, désignations féminines) ; le lien entre les anthroponymes et le lexique osque ; l’interprétation des sigles de prénoms et autres graphies défectives ; la forme des gentilices, l’abandon et la survivance des prénoms indigènes.
 

- 6 au 8 juin 2024 - Rome, École française de Rome (62, Piazza Navona)

Organisation  : Mathilde Cazeaux (ENS de Lyon, HiSoMA), Paul Gwynne (American University of Rome), Sarah Orsini (Université Grenoble-Alpes), Adriano Russo (Ecole française de Rome)

À l’orée de sa vie d’écrivain, Pétrarque avait entamé l’écriture de l’Africa, une épopée en hexamètres latins narrant la victoire de Scipion l’Africain sur Carthage lors de la deuxième guerre punique. Sur le modèle de Virgile et de son Énéide, il la concevait comme son chef d’œuvre, mais ne l’acheva jamais, malgré l’impatience de son entourage. Une fois passée l'effervescence suscitée par sa publication posthume à la toute fin du XIVe siècle, ce récit désenchanté et inquiet du triomphe de Rome sur le monde, aux accents philosophiques et spirituels, aux élans lyriques et dramatiques, fut rapidement éclipsé par le reste de l’œuvre de Pétrarque. Après une longue période d'oubli, c’est au tournant du XIXe et du XXe siècles que les érudits s’emparèrent de nouveau de l’Africa et qu’ils réalisèrent les premières éditions et traductions de l’intégralité de l’œuvre, en France et en Italie. Puis sa réception dépassa le cercle universitaire, dans un essor lié sans équivoque à la montée du nationalisme et de l’impérialisme italiens.

Le présent colloque international s’inscrit dans le regain d’intérêt pour cette œuvre, sensible depuis quelques décennies, et plus spécifiquement dans le projet « Affrica : l’Africa de Pétrarque – édition, traduction, lectures », qui réunit une équipe pluridisciplinaire depuis septembre 2022 et vise à élaborer une édition numérique de ce texte ouvert. Cette rencontre espère apporter des perspectives inédites, appuyées notamment sur les apports des humanités numériques et sur les outils fournis par les études de réception, les études de genre et les études postcoloniales, au croisement de la poétique, de la philologie et de l’histoire littéraire, culturelle et politique.

- programme complet (.pdf)
- affiche (.pdf)
- abstracts (.pdf)

- mercredi 5 juin 2024 - ENS de Lyon (D8.001)

à destination des chercheurs et ingénieurs des laboratoires et institutions en SHS.

De la part de Bruno Bureau, professeur des universités en langue et littérature latine, université Jean Moulin Lyon 3 (bruno.bureau@univ-lyon3.fr), Inès Burri, ingénieure d’études ANR PoBLAM, université Jean Moulin Lyon 3 (ines.burri@univ-lyon3.fr) et Pierre-Yves Saunier (pierre-yves.saunier@ens-lyon.fr).

Des utilisatrices et utilisateurs lyonnais d’Heurist se sont rencontrés une première fois à Lyon au mois de février 2024 afin d'échanger sur leurs projets en cours. Dans la continuité, nous proposons désormais un deuxième rendez-vous au mois de juin, centré sur la résolution collective de problèmes individuels. 

Par exemple :
1.    Vous n’arrivez pas à structurer vos record types de façon satisfaisante ?
2.    Vous souhaitez complexifier un modèle de données existant?
3.    Vous sentez que vous n’interrogez pas vos données comme vous le souhaitez?
4.    Vous misérez avec un widget?
5.    Vous sentez que votre problème doit être montré et éprouvé pour être compris?
6.    Vous ne voulez pas ennuyer la communauté de la liste Heurist avec un problème mineur mais irritant ?
Alors venez remuer vos neurones en groupe !

Chaque problème sera brièvement exposé par la personne qui l’apporte, puis nous nous répartirons en binômes (ou trinômes) pour l’attaquer efficacement, avant de revenir en séance plénière quand une solution aura été trouvée. Ou pas… L’intelligence collective a ses limites, celles de nos habiletés sont encore plus restreintes, et il ne s’agit pas de donner une clinique comme ont pu le faire Ian et Maël, mais de travailler ensemble à chercher des solutions ou les confronter. Chemin faisant, nous aurons de toute façon repéré des personnes à qui nous pourrons demander ou donner de l’aide à l’avenir.

Cette journée aura lieu le 5 juin dans la salle D8.001 du Bâtiment Buisson à l’ENS de Lyon (Parvis Descartes, métro Debourg). Selon la participation, elle se déroulera à cheval sur la matinée et l’après-midi ou seulement sur l’après-midi.
Quelques éléments pour déterminer si vous souhaitez participer :  
1.     vous avez déjà au moins un modèle de données en place sur Heurist - il ne s’agit pas d’un atelier autour de la mise en place d’une base, il faut donc arriver avec sa propre base et les problèmes qu’elle pose.
2.     vous êtes dans un état d’esprit où vous êtes prêts à essayer d’aider des collègues sans savoir si ces collègues réussiront à vous aider.
3.     vous acceptez de fournir des accès cannot create/cannot delete pour que chaque personne contributrice puisse accéder au problème et tenter une résolution (nous ferons circuler la liste des participants au préalable)

Si vous souhaitez participer, écrivez-nous en décrivant votre base et en indiquant une présentation concise de votre problème. Par exemple : “Je n’arrive pas à mettre des layers sur des cartes, et je ne comprends pas cette histoire de layer/map document”.

Cette journée est ouverte à tous, contrairement à la première rencontre réservée exclusivement aux chercheurs lyonnais, cependant, nous ne sommes pas en mesure de couvrir les frais liés à votre participation. L’inscription est obligatoire avant le 30 mai 2024 et à envoyer à Bruno Bureau, Inès Burri et Pierre-Yves Saunier.
En espérant que nous serons nombreux à pouvoir nous entraider pendant cette séance et que chacun y trouvera, sinon des solutions à ses problèmes, du moins un moyen d’avancer dans leurs résolutions.

Cordialement,
B. Bruno, I. Burri & P.-Y. Saunier